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Journées Détaxe 2005
07/12/2005.
Pour rendre plus visible le problème des ventes subordonnées de logiciels, le Groupe de travail Détaxe de l'AFUL organise cette année encore des Journées Détaxe les 9 et 10 décembre.
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Le Parlement Européen refuse les rentes sur l'économie numérique
08/07/2005.
L'ADULLACT et l'AFUL saluent le travail et la décision du Parlement Européen qui vient de rejeter le projet de directive sur la brevetabilité du logiciel. Elles considèrent que cette fin brutale montre que ses promoteurs industriels étaient plus motivés par les rentes sur l'économie numérique que par la promotion de l'innovation. Elles se réjouissent de cette nouvelle marge de manoeuvre qui permettra au logiciel libre de confirmer sa plus grande efficacité économique et technique et qui plus largement encore garantit l'innovation et l'indépendance technologique européenne.
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La démocratie européenne bafouée par la Commission Européenne
05/03/2005.
L'AFUL demande solennellement aux autorités françaises de faire respecter les institutions démocratiques européennes et de s'assurer que, dans le débat concernant l'extension de la brevetabilité au logiciel, le point de vue fort exprimé par le Parlement Européen, représentant du peuple européen, n'est pas purement et simplement ignoré.
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Soutien à l'Appel à action à l'OASIS
01/03/2005.
L'AFUL, l'APRIL et la FSF France soutiennent l'Appel à l'action à l'OASIS de Lawrence Rosen, Bruce Perens, Richard Stallman, Lawrence Lessig et d'autres figures des mouvements du logiciel libre.
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L'AFUL soutient la licence libre CeCILL
23/08/2004.
L'AFUL se félicite de la conception de la licence libre CeCILL par les grandes institutions publiques de recherche. Elle considère que c'est l'expression d'une reconnaissance du rôle des logiciels libres pour la recherche et l'innovation, un réel effort pour clarifier leur situation juridique en droit français et une contribution significative à leur popularisation auprès des acteurs économiques et politiques.
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L'AFUL demande un renforcement de la lutte contre la contrefaçon des logiciels
27/04/2004.
À l'occasion de la Journée Mondiale de la Propriété Intellectuelle organisée par l'OMPI, l'AFUL décide de s'associer à cette manifestation pour mieux informer le public sur le rôle économique et social du droit d'auteur sur les logiciels et pour dénoncer la tolérance quasi-institutionnelle à l'égard des contrefacteurs de logiciel.
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L'ADAE renforce son soutien au Libre
18/12/2003.
L'AFUL note avec une grande satisfaction, que l'usage des logiciels libres est pris en compte par l'ADAE, l'Agence française pour le Développement de l'Administration Électronique, comme l'indique l'adresse du site http://www.logiciels-libres.gouv.fr/
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Plus de 1000 sites web manifestent leur opposition à la légalisation des brevets logiciels en Europe
26/08/2003.
Le Parlement Européen s'apprête à voter le 1er septembre pour un projet de
directive visant à légaliser les brevets sur les logiciels. Son effet serait
dévastateur pour les sociétés informatiques européennes et pour les
développeurs de logiciels, ainsi que pour l'indépendance stratégique de
l'Europe dans le domaine des technologies de l'information. Afin d'avertir les
Parlementaires des dangers que représente un tel vote, une ultime campagne
d'information a été lancée, relayée à cette heure par plus de 1000 sites qui
ont choisi de remplacer leur page d'accueil habituelle par un message
d'avertissement.
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La France contre les brevets logiciels
25/03/2001.
Ce vendredi 23 mars 2001, le Secrétaire d'Etat à l'Industrie Christian Pierret, qui a la responsabilité directe de la politique française en matière de brevets, a déclaré dans une interview accordée à 01 Informatique: "Je suis contre les brevets logiciels en Europe. Cela tuerait l'innovation et cela encouragerait le terrorisme juridique, car les multinationales de l'édition de logiciels multiplieraient les procès contre les jeunes pousses."
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l'AFUL brevette l'interlocuteur économique unique
07/02/2001.
A l'occasion de la visite du secrétaire d'État à l'industrie, Christian Pierret, demain jeudi 8 février dans la Meuse et de l'inauguration de la politique gouvernementale en matière d'interlocuteur économique unique, l'AFUL a déposé aujourd'hui un brevet sur l'interlocuteur économique unique. Ce dépôt de brevet confère à l'AFUL un monopole privatif sur l'ensemble des politiques d'interlocuteur économique unique mises en oeuvre par programme d'ordinateur. Il entend rappeler au gouvernement les effets désastreux de la politique de soutien larvé au brevet logiciel qu'il mène aujourd'hui dans les instances de décision communautaires.
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L'AFUL brevète le passage aux 35 heures
15/11/2000.
L'AFUL a déposé le lundi 13 novembre 2000 à l'INPI un brevet sur un « système et procédé de réduction du temps de travail ». Par cette action, l'AFUL entend démontrer l'absurdité économique d'une extension du système de brevet au logiciel et les risques qu'elle fait courir à l'ensemble de la société.
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Linux est épargné par le virus « I LOVE YOU » : pourquoi ?
10/05/2000.
Les utilisateurs de Linux, de systèmes d'exploitations compatibles POSIX et de logiciels fondés exclusivement sur des standards ouverts ont été épargnés par le virus « ILOVEYOU », preuve une fois de plus que de tels systèmes offrent une bien meilleure sécurité que leurs homologues fermés et propriétaires.
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Rapport « Carcenac » : impasse sur l'interopérabilité
22/01/2000.
L'AFUL se réjouit largement des recommandations techniques du rapport « Carcenac », en particulier l'usage généralisé de standards ouverts (par ex. XML) et le recours raisonné aux logiciels libres. L'AFUL dénonce cependant l'impasse volontaire du rapport sur les conditions légales nécessaires à leur mise en oeuvre.
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L'AFUL s'oppose à la brevétabilité des logiciels et met en garde les gouvernements contre ses effets pervers.
17/05/1999.
Les gouvernements européens envisagent de se passer de cet avantage en légalisant les 24 et 25 juin prochain la brevétabilité des logiciels sans en avoir étudié préalablement les conséquences économiques. La brevétabilité des logiciels menace les éditeurs indépendants, le développement des logiciels libres, la fourniture de services informatiques et tend à freiner la concurrence et l'innovation dans une industrie de monopoles naturels; sa légalisation induirait des suppressions d'emploi dans l'industrie européenne du logiciel en favorisant les stratégies anti-concurrentielles de certains acteurs dominants.
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